Après "Mon coeur s'est égaré" voici deux poèmes dans lesquels il est question d’Afrique. L’un est dédié à la mémoire de Jean Kilian, l’autre est inspiré par les déprédations des islamistes dans le nord du Mali.
Ce fort de Bourem (oui le phosphate naturel vient de là dans l’Adrar des Iforas tout proche) lorsque je l’ai visité, était la copie conforme de ce que l’on imagine lorsqu’on lit “La Piste oubliée” ou bien que l’on visionne le film “le désert des tartares”. A bientôt pour d'autres poèmes inspirés de l’Afrique.
Roger Bertrand
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