A l’approche de la fin de mon mandat de président de l’Adac, cet éditorial est probablement le dernier dans le cadre de mes responsabilités au sein de notre association. Dans la plupart des éditoriaux précédents, j’ai tenté modestement d’attirer votre attention sur la nécessité d’une plus grande mobilisation des anciens du Cirad pour consolider et élargir la communauté des adhérents et sympathisants de l’Adac.

Si collectivement nous avons partiellement réussi parmi les cadres, cet effort devra être poursuivi et amplifié auprès de toutes les catégories de salariés du Cirad dès leur intention de départ en retraite. Ce sera l’une des tâches du prochain conseil d’administration qui pourra accueillir les derniers témoins de cette belle aventure des femmes et des hommes qui ont construit les fondations du Cirad. A cette fin, je renouvelle mon appel à candidatures, certes parmi les membres du conseil d’administration sortants dont l’expérience, le savoir-faire, la notoriété, éviteront un risque d’effet de rupture, mais aussi parmi les adhérents motivés à s’investir pour innover dans les objectifs et pratiques de l’amicale. Ce souhait s’intègre dans mes vœux traditionnels que j’adresse non seulement à l’attention des fidèles lecteurs de cette lettre mais aussi à l’attention de tous les anciens du Cirad soucieux de retrouver un espace privilégié, de culture, de partage de valeurs communes, d’incubateur d’idées, de convivialité, de solidarité, de témoignages. A l’appui du bilan de ma mandature que je présenterai lors de l’assemblée générale du 23 janvier 2018, à laquelle vous êtes conviés, je développerai ces différents points qui font la légitimité et la singularité de l’Adac.

Le président

Jean-Pierre Gaillard


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