Réponse de Bernard Simon à Roger Bertrand après la parution du poème de ce dernier : Mes souliers africains.

On n'a pas que des avantages
à abandonner ses souliers
car les scorpions, bêtes sauvages,
peuvent trouver à s'y loger.

Ce fut mon cas, je vous le gage,
dans un désert d’Arabie
où, sous la tente, notre équipage
se réfugiait durant la nuit.

Heureusement, au voisinage,
couchait mon bédouin d'ami
qui, nomade en ce paysage,
savait détruire l'ennemi.

C'est ainsi que finit ma page
et c'est tout pour aujourd'hui !

B.S. nomade retraité

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