monique barbronCette histoire vraie se passe dans les années 1970 à l’IEMVT qui était installé dans l’enceinte de l’école vétérinaire de Maisons-Alfort. Nous avions, et nous avons toujours au Cirad, un élevage de glossines, mouches propagatrices de la maladie du sommeil. On cherchait un moyen de lutter contre cette maladie qui fait des ravages en Afrique tant chez les animaux que chez les hommes. Après différents essais négatifs, il fut décidé d’étudier la composition de l’hémolymphe – qui, chez les insectes, remplace le sang – des glossines.