Trois axes de recherche structurent cet ouvrage pour redonner aux populations locales la gestion des forêts dont elles avaient été spoliées parfois de longue date...
Tout d'abord, la fiscalité forestière et la fraude fiscale forestière ; non seulement celle des entreprises d'exploitation du bois mais aussi celle de certaines administrations forestières, avec la distinction entre le légal, l'illégal et le clandestin.

Notre ami adhérent, Michel Lecoq a le plaisir de nous faire part de la récente publication en ligne, sur la plateforme de l’éditeur MDPI, du livre “How to Manage Migratory Pests and Potential Food Crises: Locusts Plagues in the 2020’s", dont il a dirigé la publication avec sa collègue Arianne Cease, de l’université de l’Arizona.

Cet ouvrage rassemble 22 articles écrits par 54 auteurs de 19 pays, articles très divers, couvrant les principales espèces de criquets ravageurs des 5 continents et mobilisant des disciplines aussi variées que l'écologie, la biologie, la biogéographie, les sciences sociales et la philosophie politique. Cet ouvrage est librement accessible sur la plateforme MDPI Books :

https://www.mdpi.com/books/book/6355

Une version papier peut également être commandée auprès de l'éditeur MDPI.
 

Résumé du livre

Alors que la maladie d'Alzheimer de sa femme Antonietta progresse, Gérard Haddad prend la plume pour écrire à celle qui ne parle déjà plus. Ces lettres retracent la lente progression de la maladie : d'abord le déni, puis la lutte, les traitements et l'espoir de revivre « comme avant », puis les rechutes et l'entrée à l'Ehpad, peu avant l'épidémie de Covid et l'absolue solitude qu'elle impose pendant plusieurs longs mois.

piombo livre

Ancien chercheur, aujourd’hui retraité, Georges Piombo vient de sortir un premier roman intitulé ‘’Mon histoire, c’est l’histoire d’un amour’’. Cet ouvrage, largement autobiographique, est une ode à son épouse emportée par la maladie, à ses enfants, à l’existence en général… écrit avec élégance et légèreté.

Dans la vie de Georges Piombo, il y a eu le Cirad. Ou plutôt le Gerdat, ancêtre de l’actuel centre de recherche agronomique, où il entre en 1975 comme technicien. Et auquel, dit-il, il doit beaucoup : « J’ai pu progresser en interne, passer des concours pour devenir chercheur ».